Cette semaine internationale permet aux établissements scolaires de sensibiliser les élèves à la tolérance et au respect. Elle a été crée en 1966.

 

En fait, c'est aussi un rendez-vous pour les gourmands, puisque beaucoup d'élèves interviewés n'étaient pas au courant que cette vente de gâteaux était liée à la semaine nationale de lutte contre les discriminations. Cette action, organisée par les 5e de Mme BURGOD, avait lieu en salle d'animation pendant la récréation de 10 heures. C'était aussi un moment pour découvrir leurs panneaux dénonçant les moqueries que subissent certaines personnes, que ce soit vis à vis de leur couleur de peau, de leur physique ou autre.

 

Ce projet a démarré il y a environ un mois en liaison avec le cours d'éducation morale et civique de Mme BURGOD. Les élèves ont eu l'idée de faire une vente de gâteaux pour les 5A, des panneaux pour les 5D et un film (pas encore terminé) pour les 5C.

 

 Cette semaine a été l'occasion pour tous d'être solidaire. Charlotte, par exemple, nous dit que c'est important pour elle de participer à la vente des gâteaux. En effet, out le monde peut subir des moqueries et des discriminations et il faut lutter contre cela.

 

Mais pas besoin d'être derrière le comptoir pour faire une bonne action, il suffit d'acheter une part de gâteau, et c'est un euro de plus contre le racisme ! Environ 250 euros ont été récoltés. Merci aux gourmands !

 

Mais où va l'argent ?

En achetant une part de gâteau, l'argent est reversé à S.O.S. Racisme et permet de faire fonctionner l'organisation (salaires, actions de sensibilisation...). L'organisation dépend uniquement des dons : plus de 60 % d'entre eux proviennent de collectivités territoriales ou d'établissements publics. Les 40 % restants sont fournis par les dons ou actions diverses comme la vente de gâteaux du collège ! (chiffres de 2009). En 2009, l'association a récolté presque un million d'euros.

 

 

Nous rappelons que S.O.S. racisme sensibilise contre le racisme et l'antisémitisme et vient en aide aux victimes des discriminations.

 

 

Dimitri et Alexis